Les voyages du Conscience Tranquille : Le matériel
Les personnages, aventuriers expérimentés, sont raisonnablement dotés en matériel varié, en fonction de leurs historiques respectifs et de leurs compétences. En particulier, ils sont convenablement pourvus en vêtements et chaussures de rechange, communicateurs et ordinateurs personnels, outillage varié, matériel d'escalade, nécessaires de premiers soins, sacs, lampes torches, boussoles, jeux de cartes, sifflets, canifs, et autres briquets.
Ceux qui ont pris le skill Scuba ont un équipement de plongée. Ceux qui ont pris Caving ou Spelunking ont un équipement de spéléologie. Ceux qui ont pris Fishing ont du matériel de pêche à la ligne. Ceux qui ont pris Skiing ont des skis. Ceux qui ont pris Snowshoeing ont des raquettes à neige.
Côté armement, il y a les armes de l'armurerie bien entendu, et peut-être une ou deux armes supplémentaires ; en outre, chacun possède au moins un bon poignard, et une arme à feu OU un laser personnel. L'armement du bord est donc relativement polyvalent.
Pour le reste, le matériel commun se trouvant à bord du Conscience Tranquille comprend entre autres l'aéromobile et un outillage varié et relativement complet, ainsi que diverses pièces de rechange permettant des réparations d'urgence du vaisseau et de l'aéromobile.
Amarrés dans la soute, se trouvent :
un engin genre Fenwick, pourvu d'une fourche de levage à deux dents à l'avant (elle peut soulever jusqu'à cinq tonnes et monte jusqu'à cinq mètres (soit plus haut que le plafond de la soute !)), et d'un crochet de remorquage à l'arrière ; malheureusement, aucun des membres de l'équipage ne sait le manier avec aisance, mais ils peuvent quand même l'employer pour des tâches simples, ce qui les dépanne ;
et un transpalette gravitique, utilisé pour de plus petites charges (une tonne maximum).
L'armurerie contient principalement du matériel de secours, qui est le suivant :
- six combinaisons spatiales (dont quatre aux tailles respectives des personnages) ;
- dix bulles de survie (membrane qui, pliée, a à peu près la taille d'un livre de poche, mais qui peut se déployer en quelques secondes pour former une bulle étanche dans laquelle une personne peut se placer et survivre pendant 15 mn (ou plus avec une réserve supplémentaire d'air)) ; simples d'emploi, elles sont fournies aux passagers en cas de sinistre, plutôt que de leur faire endosser des combinaisons spatiales dont l'utilisation est nettement plus complexe ; les bulles flottent sur l'eau (sauf si elles sont surchargées), on peut se déplacer avec en marchant à l'intérieur (un peu comme un hamster dans sa roue), et leur enveloppe est suffisamment souple et résistante pour ne pas se déchirer facilement ;
- des rustines murales (des plaques de plastique adhésif renforcées par de l'acier, qu'on applique dans l'urgence en cas de brèche pas trop importante dans la coque du vaisseau) ;
- dix respirateurs avec leurs filtres ;
- vingt bonbonnes d'air (chacune fournissant deux heures d'autonomie respiratoire à une personne ne fournissant pas d'effort physique important) ;
- un testeur atmosphérique (appareil électronique donnant la composition d'un mélange gazeux, avec une diode rouge qui s'allume s'il n'est pas respirable par des humains, une diode verte qui s'allume dans le cas contraire ; 500 g) ;
- cinquante boîtes d'un demi litre d'eau pure ;
- cinquante rations de survie ;
- cinquante baguettes magiques (ce sont des tubes en plastique qui, lorsqu'ils ont été pliés, émettent une lumière tamisée pendant environ 24 heures (la flexion rompt des membranes à l'intérieur du tube, ce qui met en contact des composés chimiques dont la réaction produit cette lumière)) ;
- dix balises de détresse (appareil pesant environ 1 kg, qui émet un signal de détresse lorsqu'il perçoit des émissions sur les fréquences qu'il surveille, et qui permet aussi d'émettre et de recevoir sur ces fréquences ; portée 500 km, autonomie 30 jours) ;
- vingt fusées-signaux de détresse (émettent une lumière vive et une fumée colorée pendant 15 mn ; 250 g pièce) ;
- cinq carabines de calibre 7 mm (un calibre courant dans l'Imperium), pouvant se démonter en trois parties principales, le canon et le mécanisme pouvant ainsi être rangés dans des cavités de la crosse (3 kg) ; elles utilisent des chargeurs de dix munitions, et l'armurerie contient en outre une caisse de 500 munitions supplémentaires ;
- quatre fusils de chasse à répétition (5 cartouches, + éventuellement une dans la chambre), de calibre 12 (courant aussi), avec 150 cartouches à plombs, 50 cartouches à balle et 25 cartouches avec des billes de caoutchouc (genre flash-ball) ;
- dix bâches imperméables de 2 m sur 4 ;
- cinq bobines de 300 m de cordelette de 5 mm de diamètre (ce sont bien entendu de grosses bobines...) ;
- cinq bonnes cordes de 50 m ;
- cinq rouleaux de 50 m de câble de plastacier ;
- quatre grappins ;
- quatre marteaux-piolets ;
- des pitons d'escalade ;
- un assortiment de mousquetons ;
- cinq machettes ;
- cinq paires de jumelles ;
- six combinaisons chauffantes (sorte de vêtement collant qui couvre le corps entier, y compris pieds, mains et une cagoule pour la tête (mais rien pour le visage) ; des microrésistances tissées au cœur des fibres et alimentées par une batterie permettent de chauffer la combinaison, la température se réglant au moyen d'un thermostat), dont quatre aux tailles respectives des personnages, le reste étant du "tout venant" ;
- six combinaisons réfrigérantes (analogues aux précédentes, mais pour maintenir le corps au frais) ;
- six canots gonflables monoplaces ;
- dix trousses de premiers soins ;
- dix sacs à dos costauds ;
- dix trousses de survie avec divers petits matériels (lignes de pêche, allumettes, briquet, canif multilames, etc...) ;
- dix exemplaires du Manuel de survie du Service des Éclaireurs de la Fédération Syléenne, un livre électronique qui n'a en fait pas grand chose à voir, malgré son titre, avec le précurseur du SIEI : il s'agit plutôt d'un texte de vulgarisation à destination du citadin brusquement plongé dans une situation de survie dans un milieu hostile (par exemple, suite au naufrage du vaisseau qui le transporte sur une planète inhabitée).
Le médecin du bord (à savoir Gam) a la responsabilité du matériel de l'infirmerie (bien qu'aucun local ne fasse office d'infirmerie), qui comporte principalement du matériel d'examen, un senseur médical relié à un ordinateur, une trousse de petite chirurgie, un abondant nécessaire à pansements, un matériel de dentisterie, et un stock de médicaments.
Le cuistot de service (à savoir Al) a la responsabilité du matériel de la coquerie (bien que là non plus, aucun local ne soit affecté à cet usage), auquel il a adjoint son abondant attirail de cuisine personnel.
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